Fairyland

Alysia Abbott

1974. Après la mort de sa femme, Steve Abbott, écrivain et militant homosexuel, déménage à San Francisco. Avec sa fille de deux ans, Alysia, il s’installe dans le quartier de Haight-Ashbury, le centre névralgique de la culture hippie.

Là où Joan Baez a pris le micro dix ans plus tôt pour appeler à lutter contre la censure et en faveur de la liberté d’expression. Là où les représentants officiels de la Beat Generation – William Burroughs, Jack Kerouac, Allen Ginsberg, Lawrence Ferlinghetti, Neal Cassidy… – annoncèrent l’avènement de la révolution psychédélique. Steve Abbott découvre une ville en pleine effervescence dans laquelle la communauté gay se bat pour ses droits, il rejoint la scène littéraire de l’époque et fréquente cette génération de jeunes gens bien décidés à tout vivre, tout expérimenter. Commence pour le duo père-fille une vie de bohème, ponctuée de déménagements, de fêtes et de lectures de poésie à l’arrière des librairies. Alysia Abbott raconte son enfance alors que le virus du sida ronge peu à peu la ville.

 

Presse

« Le plus beau livre que j’aie lu ces dernières années. » – Augustin Trapenard, Le Grand Journal, Canal +

« J’adore Fairyland. C’est une histoire d’amour à la fois unique et merveilleuse entre un père et sa fille qui ont grandi côte à côte dans le San Francisco des années 1970. Je pense que ce livre fera un film aussi touchant qu’engagé. » – Sofia Coppola

« Tout dans ce livre fait écho aux questionnements qui traversent aujourd’hui la société. » – Élisabeth Philippe, Les Inrockuptibles

« Une belle leçon d’histoire, de tolérance et d’affection entre une fille et un père. » – Gilles Chenaille, Marie Claire

« L’histoire belle, et tendre, et bousculée d’un duo. » – Nathalie Crom, Télérama

« Un témoignage unique que Sofia Coppola va porter au cinéma. » – Bertrand Rocher, Grazia

« Alysia Abbott a réveillé une mémoire ignorée : celle des orphelins du sida. » – Macha Séry, Le Monde des livres

« Steve Abbott réussit à créer pour Alysia un royaume enchanté : un univers à eux, en dehors de la norme, mais dans la tendresse. Loin d’être une sucrerie mièvre, le récit n’élude aucune difficulté de leur vie à deux, aucun piège de leur relation fusionnelle. » – Évelyne Bloch-Dano, Le Magazine littéraire

« C’est aussi toute l’histoire d’une époque et d’un monde menacé par l’arrivée du sida qu’elle nous offre dans une biographie riche et surprenante. » – Madame Figaro

« Alysia Abbott portait en elle depuis vingt ans ce désir d’écrire la vérité sur son père. Une des forces de ce livre, c’est d’inscrire leur relation “dans une histoire plus vaste”. » – Joël Métreau, 20 minutes

« Un magnifique et émouvant récit. » – Jean-Claude Vantroyen, Le Soir

« C’est comme un récit à deux voix, dont le personnage principal n’est ni Alysia ni Steve, mais la relation entre un père et sa fille. Une alliance puissante, face aux regards de travers notamment, où le partage est permanent. Un texte émouvant sur la volonté d’être soi et sur l’art d’aimer les siens. » – Julien Rousset, Sud Ouest

« Un récit poignant. On peut lire ce livre comme le roman d’une époque, comme le témoignage d’une enfance particulière ou comme un hommage à un père pas comme les autres mais incroyablement aimant. » – Danielle Laufer, Prima

« Ce témoignage intime et bouleversant, mais aussi sociopolitique, s’inscrit dans l’histoire d’une époque rongée peu à peu par la maladie et les discriminations. » – Aline Smettie, Voici

« Alysia au pays des Merveilles. Dans son Fairyland, elle retrace sa jeunesse aussi radieuse que dérangeante. Un témoignage d’amour rare, bouleversant, queer. » – Sandrine Mariette, Elle

« On déambule entre artistes proches de la nouvelle gauche américaine, écrivains et compagnons de la Beat Generation. Un style simple et ciselé qui évite la nostalgie et les clichés. » – Hubert Artus, Lire

« Un texte d’une sincérité remarquable, qui s’invite involontairement dans le débat politique actuel. Il est impossible de ne pas éprouver une sympathie immédiate pour ce couple improbable. » – Béatrice Arvet, La Semaine

« Cette histoire détaillée, à hauteur d’enfant puis de fille sensible et distanciée, a le mérite de raconter une autre Amérique : la fin des illusions gauchistes, puis la fin du rêve homo avec le sida, et même une Amérique pauvre, et dure pour les rêveurs, en fin de siècle. » – Jean Rouzaud, Nova Planet

« Un récit touchant. » – Serge Bressan, Le Quotidien (Luxembourg)

« Un roman engagé, une ode à la liberté des 70’s, le bilan d’une enfance libertaire et d’une époque belle et sans repères… Un livre tendre, lucide et désenchanté. Un magnifique tombeau littéraire. Fairyland est tout ça à la fois. » – Clémentine Goldszal, Glamour

« Des chroniques de San Francisco, il y en a eu des palanquées. La bohème psyché-baba des seventies, les ravages du sida ont été́ copieusement traités par la littérature et le cinéma. Le témoignage d’Alysia Abbott est, lui, inédit. » – Grazia

« Un récit dont on sait qu’il sera le prochain projet de la réalisatrice Sofia Coppola. Et qui devrait lui aller comme un gant. » – Pauline Le Gall, Cheek Magazine

« On n’est pas étonné que la réalisatrice de Somewhere se soit emballée pour une histoire aussi singulière et touchante. » – Alexandre Fillon, Livres Hebdo

« La force inouïe de Fairyland, ce livre si bouleversant qu’il est complexe de le dire, est dans cette manière de mêler récit collectif et intime. » – Christine Marcandier, Mediapart

« Une jeunesse pas comme les autres, féerique et colorée, mais aussi parfois douloureuse et traversée par le sentiment de ne pas entrer dans le moule de la société. » – Maëlle Le Corre, yagg.com

« On adore le climat d’insouciance, la fantaisie délicieuse des premiers chapitres. » – Ilana Moryoussef, France Inter

[Pour écouter la chronique : franceinter.fr/emissions/un-livre-americain-pour-l-ete]